Ces lignes ont été inspirées par la lecture d'un article sur LesObservateurs.ch, reprenant les paroles de Bill Warner, farouche critique de l'Islam. Ce dernier préconise, à juste titre, de bien connaître l'ennemi (en l'occurrence les forces de celui-ci) pour mieux le combattre.
Il a raison, Bille Warner, sur toute la ligne. Sauf que...
Il se trompe d'ennemi. Car si l'ennemi était vraiment l'Islam, en venir à bout serait un jeu d'enfant.
Warner nous dit que l'Islam est un concept de guerre de civilisations, ce qui est tout à fait juste. Encore faut-il s'entendre sur le concept de civilisation et prétendre que l'islam en soit porteur d'une est simplement une plaisanterie, de très mauvais goût.Que cela soit supérieur à notre notion de la guerre ne fait en revanche aucun doute et c'est ici que commence la faiblesse de l'argumentation de Warner. Car pour parler d'une force ou d'une faiblesse d'un quelconque concept, faut-il encore qu'on en ait un, ce dont nous sommes sommes totalement dépourvus. L'Histoire nous apprend par ailleurs qu'aucune guerre n'a jamais été gagnée si elle n'aboutissait à l'anéantissement ou à la soumission de l'adversaire. Ainsi, pour gagner notre soi-disant guerre contre l'Islam, faut encore vouloir...la faire.
Notre adversaire n'est pas l'Islam. Non. Nos ennemis, les plus dangereux sont...nous-mêmes. Nos véritables ennemis sont les Christian Levrat, Ada Marra, Cesla Amarelle et autre Alain Berset, Didier Burkhalter, Simonetta Sommaruga, Isabelle Moret et l'islamophile Brunschwig-Graf.Les frères Ramadan (qui ne font que vendre leur marchandise, aussi infecte soit-elle) ne sont pas nos ennemis. Ce sont les Edgar Morin, François Dermange, François (tout court, celui du Vatican) et tous les imbéciles de leur genre, idiots absolument (in)utiles et ignares nauséeux qui sont le véritable ennemi à combattre. Non, M. Warner, il ne faut pas admirer l'Islam mais plutôt se lamenter sur l'état déplorable de notre civilisation vacillante. Il y a un proverbe (arabe) qui dit en substance : "les biens laissés aux quatre vents incitent au vol". Ce n'est pas le musulman se trouvant seul dans une assistance de 400 personnes et qui n'a pas eu peur de se lever pour poser des questions difficiles qui est courageux, ce sont les 399 autres qui sont d'une lâcheté à vomir. Je vous concède, en revanche, que le musulman en question est parfaitement au courant de cette lâcheté, de cette soumission et de cette dhimmitude devenues génétiques. J'ai déjà eu l'occasion d'écrire cela aussi à maintes reprises : Ils doivent très certainement se frotter les yeux (les musulmans) à la vue de notre décrépitude.
Il faut connaître l'Islam, dites-vous. Il faut connaître l'ennemi et l'Islam est l'ennemi de notre civilisation. Non, absolument pas. Rome n'est pas tombée sous les coups des barbares mais suite à sa propre décadence. Vouloir à tout prix désigner l'autre comme ennemi n'est qu'une preuve supplémentaire d'un aveuglement total et définitif. L'Islam n'est pas notre ennemi et le combattre n'est pas difficile, ici comme ailleurs, là-bas. La recette n'est par ailleurs pas compliquée et il n'est nul besoin de larguer deux ou trois cartouches sur des endroits bien choisis en Arabie Saoudite. Pour les combattre, il suffit de leur rendre la vie absolument impossible, au moins ici, chez nous. Et que les imbéciles légalistes se rassurent car il ne s'agit en aucun cas de faire deux poids deux mesures. Nul besoin de traiter les musulmans d'une manière différente. Au contraire, il suffit simplement de leur appliquer…nos lois, celles que nous "subissons" nous-mêmes. Cela est largement suffisant pour leur rendre la vie impossible.
Pour cela, il faut certainement autre chose que des dhimmis soumis.